Algérie : le (nouveau) marché de l’automobile à l’épreuve du réel

LETTRE D’ALGER. Le marché de l’automobile connaît un nouveau rebond, malgré les réserves des – nombreux – clients en attente de véhicules neufs.

Par notre correspondant à Alger,

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Le marché de l’automobile a été frappé de plein fouet par la vague anticorruption lancée par le système en parallèle de la transition post-Bouteflika dès 2019. 
Le marché de l’automobile a été frappé de plein fouet par la vague anticorruption lancée par le système en parallèle de la transition post-Bouteflika dès 2019.  © BECHIR RAMZY/ANADOLU AGENCY/AFP

Temps de lecture : 6 min

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Ces dernières semaines, les médias algériens tendent à ressembler à des Argus de l'automobile. Pas un jour ne passe sans être bombardé par des annonces de l'arrivée de nouvelles marques automobiles après près de cinq ans de crise.

Les nouvelles marques se surpassent en offres alléchantes avec des shows dévoilant les modèles flambant neufs importés. Avalanche de promotions et promesses de prix qui se veulent proportionnés par rapport au pouvoir d'achat des Algériens.

Une clientèle sevrée du neuf

Il y a plusieurs mois, c'est la marque Fiat qui a ouvert le bal avec un projet d'usine de montage à Oran (ouest), dont le lancement de production est prévu pour ce décembre. En parallèle, Fiat a été autorisé à importer des véhicules depuis mars dernier. Cette première ouverture à l'import ne s'est p...

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Commentaires (3)

  • olifan12

    " le pays est un pays routier par excellence de par son immensité et son réseau routier hyper-étendu…". Et à qui ils le doivent ce beau réseau routier ?

  • Gigi de Rey

    À un article sur les réseaux de voitures de luxe volées en France… comme quoi faut pas s’arrêter au titre de l’article mais le lire

  • Grillon66

    Les constructeur européen n’ont rien à faire la bas, un pays qui divise et anti occidentaux ne peut avoir de constructeur occidentaux s’installer chez eux.
    a l’identique de la Turquie les entreprises occidentales doivent se retirer.
    rappeler vous la Russie qui est à méditer, c’est la même chose.

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