« Napoléon » de Ridley Scott : Joséphine, ange gardien

Réchappée de la guillotine, grand amour de l’Empereur, cette femme d’exception sera l’étoile de ses plus belles années. Rien d’étonnant à ce qu’elle ait fasciné le réalisateur anglais, dont le film sort mercredi.

Par

S’abonner sans engagement Réservé aux abonnés

Temps de lecture : 8 min

Lecture audio réservée aux abonnés

Elle subjugua celui qui allait devenir l'homme le plus puissant du monde. Rien d'étonnant à ce que Joséphine de Beauharnais ait fasciné le cinéaste Ridley Scott, amateur de femmes fortes (Alien, Thelma et Louise) au point d'être le vrai premier rôle de son film, celle sans laquelle, selon lui, Napoléon n'aurait jamais percé sous Bonaparte.
Le choix du réalisateur de Napoléon de l'actrice Vanessa Kirby (The Crown, Mission impossible) pour incarner la future impératrice et reine est, au physique, assez juste, loin des autres errements du film. Selon les descriptions de l'époque, Joséphine était mince, de taille moyenne, avec des traits réguliers, des cheveux noirs, un petit nez « en l'air », des yeux bleu sombre. En revanche, elle avait la peau mate et son sourire fermé lui donnait un côt...

Cet article est réservé aux abonnés. S’identifier
La newsletter culture

Tous les mercredis à 16h

Recevez l’actualité culturelle de la semaine à ne pas manquer ainsi que les Enquêtes, décryptages, portraits, tendances…

Votre adresse email n'est pas valide

Veuillez renseigner votre adresse email

Merci !
Votre inscription à bien été prise en compte avec l'adresse email :

Pour découvrir toutes nos autres newsletters, rendez-vous ici : MonCompte

En vous inscrivant, vous acceptez les conditions générales d’utilisations et notre politique de confidentialité.

À ne pas manquer

Ce service est réservé aux abonnés. S’identifier
Vous ne pouvez plus réagir aux articles suite à la soumission de contributions ne répondant pas à la charte de modération du Point.

0 / 2000

Voir les conditions d'utilisation

Commentaire (1)

  • navrre

    Ou comment on écrit l'Histoire ! D'accord : nous Français avons tendance à simplifier la nôtre tout en la magnifiant mais en restant dans les limites de la décence. Les Anglo-saxons, eux, la massacrent allègrement, avec un rancoeur à la mesure de leurs craintes passées. Bien sûr, il est plus commode pour un Ridley Scott de faire de Joséphine l'héroïne de l'affaire car cela lui permet de minimiser le rôle de "l'ogre". Pour la petite histoire, ladite Joséphine, véritable initiatrice sexuelle du futur empereur et plus âgée que lui, n'avait certainement pas les yeux noisette tirant sur le vert. En bonne béké, elle devait avoir des yeux sombres.

Toute l’actualité à 1€ le 1er mois S'abonner