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Elle a de nouveau la pêche. Autrefois leader des radios généralistes, aujourd'hui cinquième derrière France Inter, RTL, RMC et France Bleu, Europe 1 a réussi sa rentrée pour la première fois depuis longtemps, très longtemps. Cela faisait dix ans qu'elle reculait aux mois de septembre et octobre.
En 2017, Arnaud Lagardère, PDG du groupe Lagardère, avait tenté de recruter l'ancien trio gagnant de la radio publique, Frédéric Schlesinger, ex-directeur des antennes et des programmes de Radio France, Emmanuel Perreau, ex-directeur des programmes de France Inter et d'Europe 1, et le matinalier Patrick Cohen. Un échec. Puis ce fut au tour de Nikos Aliagas et de Matthieu Belliard de tenter de redresser la matinale, moteur des audiences d'une radio. Sans succès.
La tragédie du transfert de Laurent...
J’écoute E1 depuis 65 ans. En 2005, je m’étais écarté vers RTL. Ras le bol des anti Sarko emmené parBruce Toussaint. Puis à nouveau parti apres l’arrivée de la bande de France Inter. Insupportable. Depuis 2/3 ans, je retrouve ma station. La matinale extra, professionne?le et sympathique, Pascal Praud m’étonne en bien, Laurence Ferrari aussi. Je regrette un peu Philippe Vandel et j’ai du mal à supporter Christophe Ondelatte qui pense que tous les gendarmes ont l’accent toulousain. Bravo aussi à Hélène Zelani. Le week end est très bon. E1 est sur la bonne voie (voix)
C'est grâce à Sophie Davant-Stilnox. Endormissement rapide garanti.
Je crois simplement que le rebond d'Europe 1 tient à sa nouvelle ligne éditoriale, plutôt à droite. Il y a évidemment une demande de la part de gens comme moi qui ne supportent plus France Inter. Mais le rebond est léger et les radios dites de "service public" (sic) sont outrageusement favorisée par l'absence de pub.