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Un atterrissage historique. Un Boeing 787 de la compagnie Norse Atlantic Airways a réussi mercredi à atterrir sur la banquise de l'Antarctique, devenant ainsi le plus gros engin à se poser sur le continent de glace. Comme le précise BFMTV, l'appareil est parti d'Oslo, en Norvège, avant de faire une escale au Cap, en Afrique du Sud, et de se diriger vers le pôle Sud.
L'avion a pu se poser à l'aérodrome de Troll, situé dans la région de la Terre de la Reine-Maud. Cet aérodrome ne comporte qu'une seule piste et est coordonné par l'Institut polaire norvégien (NPI), qui a organisé ce vol dans lequel ont voyagé 45 passagers, parmi lesquels des scientifiques et 12 tonnes de matériel destiné à la recherche.
Le directeur des opérations et de la logistique au sein du NPI, John Guldahl, explique que « l'avion transportait des passagers de plusieurs pays qui se rendaient dans d'autres stations » du continent.
Réduire le nombre de vols en Antarctique
Cette prouesse technique va surtout permettre de réduire l'impact environnemental de ces vols. « Cela montre notre capacité à effectuer des vols plus rentables vers l'Antarctique en transportant un équipage scientifique et logistique plus important, mais aussi plus de fret avec une empreinte environnementale plus faible », confirme la directrice du NPI, Camilla Brekke.
A historic moment for Norse✈️The first ever @BoeingAirplanes B787 Dreamliner to land in Antarctica! We are incredibly honoured to be a part of this piece of history, marking a very special milestone for Norse. We would like to express our sincere gratitude to the Norwegian Polar… pic.twitter.com/i2V1ZQZFAe
— Norse Atlantic Airways (@flynorse) November 16, 2023
La possibilité pour l'aérodrome de recevoir des appareils plus grands pourrait permettre de réduire le nombre de vols qui apportent, six à huit fois par an, du personnel et du matériel et ainsi de diminuer les émissions en Antarctique.
Oslo-Pole Sud.
Pas vraiment bon pour le bilan carbone de nos climatologues donneurs de leçons.
Fait pas si froid finalement.
Le Point comme tout la presse, n’y échappe pas, c’est même récurant
Sans doute dû à des restrictions budgétaires : aller vite et pas de relecture
c’est navrant