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L'enquête sur le meurtre de JFK est un tonneau des Danaïdes. Elle est aussi un modèle du genre, quasi abstrait, qui confirme que l'esprit humain est bien obsessionnel. Que ses ressources sont infinies pour remplir les trous, attribuer des rôles dûment renseignés, à partir d'une seule situation, à partir aussi de tonnes de documents que l'on se met à exhumer, à brasser, à agencer et à faire parler. Les noms changent, les rôles aussi, qui viennent s'emboîter dans quelques scénarios. Résultat d'une quête de douze ans, l'ouvrage de Mary Haverstick, cinéaste américaine, est un cas d'école. Son voyage intrigue. Fascine. Il laisse aussi un goût d'inachevé.
C'est en réalisant un documentaire en 2010 sur Jerrie Cobb (1931-2019), pilote qui manqua d'être la première astronaute américaine, que Have...
Pourquoi le Point publie ces contre verites ? Il est depuis le début etabli qu il n y a qu un seul tireur Ostwaldt marine tireur d elite. N importe qui peut écrire n importe quoi ! Seuls les faits comptent quoique en disent les complotistes !
C’est bien elle, une blonde comac… D’ailleurs, la CIA buvait des coups dans sa petite taule de Biên Hòa, pas tellement loin de Saïgon… Son nom, ce n’était ni Jerrie ni June… Comment qu’elle s’appelait, nom de Dieu ?
Grand pays, grosses mafias, grandes turpitudes (les frères Kennedy), grands mythes (la famille Kennedy), grosse obsession (Kennedy et le sexe), grand choc médiatique (son assassinat), grosses magouilles (l'enquête et ses incohérences), grand mystère. Tout est énorme là bas.