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Ce mercredi 22 novembre, un nouveau paysage politique émergera des urnes aux Pays-Bas. Et, pour la première fois depuis treize ans, le nom de Mark Rutte ne figurera sur aucun bulletin de vote. Le Premier ministre quittera le pouvoir quand le nouveau gouvernement sera formé (généralement, il faut plusieurs mois de négociations).
Son long règne a été scandé par quatre scrutins législatifs et la constitution de diverses coalitions (des travaillistes à l'extrême droite) qui ont illustré la formidable plasticité politique de l'homme, son pragmatisme absolu. Rutte n'en pas peut-être pas tout à fait fini avec la politique. Il a marqué son intérêt pour le secrétariat général de l'Otan qui pourrait lui être confié en juin 2024, à moins qu'il ne soit dérouté vers un top job au sein des institutio...
Jbrenier :... Et la perspective de l'arrivée au pouvoir de Le Pen ne rassure pas non plus les citoyens de France ! Loin s'en faut...
La morale de ses succès en extension dans les pays européens est limpide et évidente :
Quand la coupe est pleine, elle déborde, et nous y sommes, également submergés.
Fort heureusement, à court terme, le bon sens populaire s'imposera !
Très drôle à lire, cet article manipulateur digne de l'afp, à l'aune de l'écrasante victoire de lextrrrreeeemmmeee droite, de l'effondrement de la droite classique et plus encore du chouchou du point. Soit l'inverse de l'article