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« Elle va mal. » Interrogé par Le Parisien, Jacques Dutronc a joué la carte de l'honnêteté pour évoquer la santé de son ancienne compagne Françoise Hardy. L'interprète de « Mon amie la rose » souffre depuis plusieurs années d'un cancer du pharynx. Il ne s'agit pas de la première maladie touchant la chanteuse : elle avait auparavant réussi à guérir d'un cancer du système lymphatique.
Face à cette épreuve terrible, son mari (ils sont séparés depuis 1987, mais n'ont jamais divorcé) loue son « énorme courage ». « Elle ne veut pas n'importe quoi, elle est dure à soigner », relate-t-il tout de même. Jacques Dutronc fustige toutefois les effets secondaires des soins apportés à son épouse. « Tu ne vois plus d'un œil, tu ne peux plus manger, tu n'as plus de salive. Allô ? Personne ne répond », déplore-t-il.
Des « problèmes incurables »
Depuis quasiment un an, le compositeur de « L'Opportuniste » n'a pas pu voir son ancienne compagne, sans pour autant perdre le contact. « Je ne l'ai pas vue depuis fin décembre 2022. Elle n'a pas pu venir sur la tournée (avec leur fils Thomas Dutronc en 2022)… Mais on se parle toujours tous les jours par mail », explique-t-il.
En janvier dernier, Françoise Hardy expliquait, à RTL, le calvaire qu'elle endurait depuis le début de ses soins. « Les 45 radiothérapies que l'on m'a envoyées de gauche à droite du bas de la tête et les dix autres de haut en bas ont détruit ce qui permet d'irriguer la bouche, la gorge, le nez, les oreilles, les yeux et le cuir chevelu. Je vous laisse imaginer les problèmes incurables que cela pose », se plaignait-elle.
C’est vrai, sans être idolâtre, que Françoise Hardy était pour moi une merveilleuse artiste quand j’étais jeune. Je lui reste très attaché, d’autant plus qu’elle n’a pas fait beaucoup de faux-pas dans sa carrière. Je lui souhaite tout le courage nécessaire pour qu’elle s’en sorte…
Tellement désolée pour elle. J'espère qu'elle est bien entourée dans ses terribles épreuves.
@mireil, il me semble qu'il appartient à chacun de décider s'il veut ou non des soins palliatifs ou s'il préfère continuer à se battre.