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Ce n'est plus un tabou d'en parler : le vote musulman existe. Mais qu'en faire ? Mélenchon y mise sa carrière à présent en s'engageant dans la voie dangereuse du dopage de la judéophobie ou de sa clientélisation, au prétexte d'un droit d'indignation consécutif aux récents événements du Proche-Orient.
On l'a noté depuis une décennie : Mélenchon « s'islamise ». Il ne se convertit pas, ne se déchausse pas dans les mosquées, ne prie pas la tête vers La Mecque, mais la tête prosternée vers l'électeur français musulman. Par habileté politique, sa séduction ne parie pas, ou plus exclusivement, sur « le social », sur l'intégration ou sur le désormais vieilli « plafond de verre » racial, mais sur les affects liés à une confession. On aurait cru, par ailleurs, à un adroit usage du malaise d'être m...
Tout est dit dans l'introduction : "Mélenchon y mise sa carrière à présent en s'engageant dans la voie dangereuse du dopage de la judéophobie ou de sa clientélisation, au prétexte d'un droit d'indignation... "
Merci M Daoud comme d'habitude réaliste et clair dans ses propos.
Out le cheikh, sauf pour le chèque !
cdt.
Et si les médias tiraient une bonne fois pour toute un trait sur ce guignol.
A "Cheikh" je préfère "Hospodar".
Titre qui dénote mieux son allégeance à la Turquie d'Erdogan.
Et comme en plus j'adore Apollinaire...