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Au moment où s'ouvre ce 18 novembre la semaine mondiale de lutte contre l'antibiorésistance (jusqu'au 24 novembre), les médecins généralistes sont dans leurs petits souliers… Et les vétérinaires français plastronnent. En médecine humaine, l'Hexagone décroche un nouveau bonnet d'âne : en 2022, les prescriptions d'antibiotiques se sont envolées de + 16,6 % en ville, + 14 % à l'hôpital, selon les données de Santé publique France (SPF).
Avec 821,5 prescriptions pour 1 000 habitants dans l'année, les Français restent sur le podium des plus gros dévoreurs d'antibiotiques en Europe – souvent à mauvais escient : aucune pathologie particulière ne justifie qu'ils en consomment trois fois plus que les Néerlandais, et deux fois plus que les Allemands.
Mais alors que l'antibiorésistance fait des rava...
La plupart des prescriptions d’antibiotique par les généralistes sont pour des rhumes et des angines qui évoluent en bronchites avec fièvre il y a un vaccin peut prescrit le "pneumo 23" d'une grande efficacité, il regroupe 23 microbes, bactéries et virus du système respiratoire, depuis maintenant six ans que j'ai forcé mon médecin a me l’administrer cela fait économiser à la sécu une visite médicale et une semaine d'amoxicilline.
Ce n'est pas moi qui demande des médicaments mais mon médecin qui me les prescrit. A ma grande surprise à la dernière consultation il m'a demandé ce dont j'avais besoin.
Il faut peut-être rappeler aux médecins (à certains) qu'ils sont les professionnels et c'est eux qui doivent savoir et pas les patients.
On peut être un excellent médecin, et manquer de caractère : le nombre de patient arrivant en consultation avec un rhume ou une angine et demandant, voire réclamant d’emblée, un antibiotique, est considérable. Pour la grande majorité des gens, antibiotique = remède miracle qui va guérir instantanément. Savoir dire non nécessite un peu de courage. Et on peut maintenant être aidé par les tests instantanés TROD.