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Septième défaite consécutive pour les Spurs. Après la raclée subie à Oklahoma City mardi (123-87), où Wembanyama s'était raté (8 points), le Français a retrouvé des couleurs vendredi 17 novembre face à Sacramento en marquant 27 points (12 tirs sur 26) et prenant 9 rebonds, en étant bien épaulé par le pivot Zach Collins (28 points). Mais cela n'aura pas suffi. Dans un match à domicile serré, les Texans ont plié dans le dernier quart-temps face à De'Aaron Fox, intenable avec 43 points (14 sur 24), et le Lituanien Domantas Sabonis (27 points, 14 rebonds).
Wembanyama, numéro 1 de la dernière draft NBA, a connu une fin de match difficile entre des tirs ratés et un « marcher » sifflé alors que les Spurs commençaient à lâcher prise. Le géant français s'est distingué en début de rencontre avec un « alley-oop » à une main tout en subissant une faute, mais continue de s'enfoncer au classement avec ses jeunes coéquipiers (3 victoires – 9 défaites, avant-derniers de la conférence Ouest).
Le match comptait également pour la phase de poules du nouveau tournoi de mi-saison, et les Spurs sont assurés de ne pas rejoindre les quarts de finale, dont se rapproche Sacramento (2 victoires en 2 matchs).
« Ça ira »
Bien épaulé par le pivot Zach Collins (28 points, 8 rebonds), Wembanyama s'est distingué d'un joli « alley-oop » à une main tout en subissant une faute, mais a raté sa fin de match entre tirs manqués et « marcher » sifflé alors que les Spurs commençaient à lâcher prise. Surtout, le géant français affiche un vilain différentiel de - 31 (son équipe a « perdu » de 31 points en cumulé lors de ses 30 minutes sur le parquet). « Il y a des sacrifices à faire, on le sait, c'est dur d'être patient, c'est un combat quotidien, a commenté Wembanyama. Tant que l'on reste motivés, concentrés avec l'esprit clair, ça ira. »
Le coach Gregg Popovich a, lui, « apprécié les efforts ». « C'est super frustrant de perdre, mais il faut savoir garder du recul pour comprendre. Avec le temps, on va réduire nos erreurs, ça devrait nous mener à quelques victoires. » Encore privés sur blessure de deux joueurs majeurs (Tre Jones et Devin Vassell), les Spurs payent leur jeunesse et le manque de profondeur de leur effectif et sombrent au classement (3 victoires – 9 défaites, avant-derniers de la conférence Ouest).
Les risques de vanter des supposés mérites potentiels avant de les avoir effectivement réalisés.
Tranquille ! Il n’est pas tout seul dans son équipe, « quand même », non ?